Un mercredi sous le signe de la patience

Bonjour à tous ! Nous sommes mercredi 26 février 2025, et comme chaque matin, je vous retrouve pour faire le point sur les marchés financiers, partager quelques réflexions sur mes stratégies d’investissement et, pourquoi pas, vous inspirer avec des anecdotes personnelles. Merci à ceux qui étaient présents hier soir pour notre session hebdomadaire – ça m’a fait chaud au cœur. On attaque une nouvelle aventure en 2025, et je suis ravi de la partager avec vous !

Les marchés en bref : une journée calme en perspective

Commençons par l’essentiel : l’économie de marché. Hier, aux États-Unis, la confiance des consommateurs a été publiée, et elle s’est révélée moins bonne que prévu. Rien de dramatique, mais ça donne le ton. Aujourd’hui, pas grand-chose à l’horizon en termes de données majeures avant 16 h (heure française), où nous aurons les ventes de logements aux États-Unis et, surtout, l’estimation du PIB américain pour le quatrième trimestre 2024 – un indicateur clé de l’activité économique outre-Atlantique. En parallèle, les ventes au détail au Canada seront aussi publiées. Bref, une journée plutôt tranquille côté macroéconomie.

Sur les indices, ça glisse doucement mais sans casse. Le S&P 500, le Nasdaq et consorts ont terminé hier en légère baisse : -0,4 % pour le S&P, -0,5 % pour le Russell 2000, et -1,2 % pour le Nasdaq. Rien d’alarmant pour l’instant, même si certaines valeurs technologiques comme Nvidia (-3 %) ou Tesla (-8 %) ont pris un coup. À noter : ce soir, après la clôture américaine, Nvidia publiera ses résultats trimestriels. Avec une capitalisation de plus de 3 000 milliards de dollars et des attentes stratosphériques (45 fois les bénéfices prévus pour 2025), c’est l’événement de la semaine. Tout le monde parle d’intelligence artificielle, tout le monde investit là-dedans – si Nvidia déçoit, ça pourrait secouer les marchés mondiaux. Mais s’ils surpassent encore les attentes, attention au feu d’artifice !

Ma stratégie sur les indices : patience et discipline

Côté stratégie, je reste fidèle à ma méthode : observer les polarités (niveaux techniques clés), attendre les bons signaux, et ajuster mes positions en conséquence. Sur le S&P 500, par exemple, j’ai vendu à 6 495 points la semaine dernière, juste avant une petite correction. Ce matin, on est autour de 6 455 – ça reste dans une tendance haussière globale, mais je garde la tête froide. Si l’indice repasse au-dessus des 6 500, je range ma casquette de vendeur et je redeviens acheteur. En attendant, je surveille les 6 454 comme un niveau pivot. Si ça casse à la baisse, je renforcerai mes ventes à découvert.

Pour le CAC 40, même logique. On oscille autour des 8 050 points. Si on ouvre au-dessus de 8 100, je pourrais envisager une position longue, mais pour l’instant, je reste prudent. L’Europe performe mieux que les États-Unis ces derniers temps, et ça se voit dans mes trades : je suis en swing haussier sur le CAC depuis novembre, et ça roule bien. L’important, c’est de ne pas se précipiter – attendre le bon timing, tenir ses positions quand le marché donne raison, et couper vite si ça tourne mal.

Focus sur Nvidia et les cryptos

Revenons à Nvidia une seconde. Ce n’est pas juste une action, c’est un baromètre de l’IA et du sentiment tech mondial. Si les résultats ce soir sont exceptionnels, attendez-vous à une vague d’euphorie sur le Nasdaq et au-delà. Mais si ça déçoit, ça pourrait vite tourner au vinaigre. J’ai appris à ne pas parier contre le marché quand il est aussi polarisé – pour l’instant, je regarde et j’attends.

Sur les cryptomonnaies, le marché est mitigé. Bitcoin (BTC) stagne autour de 87 000 $ – j’en ai repris un peu à ce niveau, après avoir attendu une correction depuis les 92 000 $. Ma stratégie reste simple : acheter sur repli, renforcer progressivement si ça monte, et sécuriser mes gains avec des stops ajustés. Ethereum (ETH), en revanche, suscite des doutes après un hack de 1,5 milliard de dollars qui a secoué le secteur. Certains pensent que ETH va dépasser BTC en valorisation, d’autres n’y croient plus. Moi ? Je continue à travailler mes zones d’achat (autour de 3 000-3 100 $), sans boule de cristal, juste avec de la discipline.

Le pétrole et les opportunités à long terme

Un mot sur le pétrole : le WTI oscille entre 70 et 82 $ le baril. Ma zone d’achat idéale est entre 70 et 72 $, mais ça peut prendre des mois avant qu’on y retourne. La dernière fois que j’ai patienté là-dessus, ça a mis quatre mois avant de décoller – et ça a payé. Patience, messieurs-dames, c’est la clé dans ce jeu.

Une digression personnelle : le pouvoir des petits pas

Hors des marchés, vos messages m’ont inspiré ce matin. Merci à ceux qui m’écrivent – hier, quelqu’un m’a partagé son aventure immobilière. Il a signé pour une maison près de chez lui, pas parfaite, mais qui lui convient. Il se sent mieux, libéré, et ça fait plaisir à lire. Un autre m’a raconté avoir supprimé Instagram pour reprendre le contrôle de son temps – une décision simple mais puissante. Et un troisième s’est lancé seul dans un voyage aux États-Unis, un rêve que personne autour de lui ne partageait.

Ces histoires résonnent avec moi. Il y a quelques années, j’ai couru mon premier semi-marathon. Je déteste courir, j’avais mal partout, mais je suis allé au bout. À l’arrivée, j’ai ressenti cette fierté brute : je l’ai fait. Pas pour le chrono, mais pour le chemin parcouru. C’est pareil dans les marchés ou dans la vie : avancer pas à pas, oser se lancer, et accepter que le pire scénario, au fond, n’est jamais si grave.

À demain !

On s’arrête là pour aujourd’hui – le morning est fini, mais bonne nouvelle : on se retrouve demain matin, fidèles au poste. Merci à ceux qui commentent, notent ou s’abonnent – ça compte énormément. Prenez soin de vous, restez disciplinés, et à très vite pour décrypter les marchés et avancer ensemble vers nos objectifs !